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L’artiste maudit mis en lumière au musée d’Orsay

06/01/2024

L’artiste maudit mis en lumière au musée d’Orsay

C’est dans ce village pittoresque du Val d’Oise, proche de Paris et berceau inspirant de la peinture de plein air pour bon nombre d’artistes, que le peintre néerlandais a passé les deux dernier mois de sa vie ; espérant surtout que le docteur Gachet, spécialiste de la mélancolie, l’aide à faire face à son mal-être. Le calme ambiant lui donne un élan créatif différent, immortalisé par son puissant trait de pinceau. Résultat : 33 dessins et 74 peintures, dont certaines sont considérées aujourd’hui comme ses plus grandes œuvres. On y découvre des toiles riches d’intensité par leurs dominantes de vert, de jaune et de bleu représentant le village, ses habitations, son château, ses habitants, l’étendue de ses paysages et de sa campagne auvernoise. On y ressent surtout la mélancolie et la solitude d’un homme tourmenté et dépressif, psychiquement éprouvé par ses nombreuses crises délirantes. La dernière aura raison de lui. L’artiste se tirera une balle dans la poitrine en plein milieu d’un champs, au soleil couchant. « Je l’ai fait pour le bien de tous ». Il avait 37 ans.
Cette exposition est un ultime voyage, comme un dernier carnet de route. Un instantané des journées de l’artiste, de ses rencontres, qui lui vaudront bien des décennies plus tard, la reconnaissance tant attendue de son art.


« Van Gogh à Auvers-sur-Oise », exposition au Musée d’Orsay (Paris VIIème) jusqu’au 04 février 2024 – du mardi au dimanche de 09h30 à 18h00 – Réservation sur www.musee-orsay.fr

 

 

 

 

Talexence, met le confort à ses pieds

02/12/2023

Talexence, met le confort à ses pieds

Et pourtant, la chaussure aiguille s’est imposée au fil des années. Merci surtout à la reine Catherine de Médicis qui l’a découvert lors d’un voyage en Italie et qui l’a rendu tendance lors de son mariage en 1533. Depuis, le talon n’a eu de cesse d’évoluer et d’agiter les mœurs. Il est devenu l’accessoire de mode indispensable aux femmes. Il sublime n’importe lequel de leur look, leur donne de l’assurance et de l’élégance. Bref, il est aujourd’hui une arme redoutable de séduction. Oui mais. Au-delà de son esthétique, le talon doit être pratique. C’est là que le bas blesse. Car nous avons toutes dans nos placards des chaussures que nous adorons, mais que nous ne mettons que très rarement, voire, pas du tout, du fait qu’elles nous font trop mal aux pieds.  Une situation insupportable pour la fashionista que nous sommes ! Quel gâchis ! Il fallait réagir. Les frères Keller ont sauté à pieds joints à la demande d’un mannequin qui, perchée toute la journée sur ses talons pour des castings, cherchait à avoir un confort inégalé. Il aura fallu plusieurs années de recherches pour que Grégory le podologue fondateur, transforme un escarpin conventionnel en une création révolutionnaire. De talon à talent il n’y avait qu’un pas. Arnaud, le designer lui a donné le nom de Talexence


Fusion des mots talon et excellence, le rêve est donc devenu réalité. Les frères Keller ont créé une chaussure au design intemporel, avec un talon de 8,5cm de haut. Chaque modèle en cuir véritable est fabriqué sur-mesure à la main en Italie. Quid du confort attendu ? Le soutien de la semelle de montage a complètement été repensé, grâce à des matériaux de qualité reconnus dans le domaine podologique, offrant ainsi aux pieds un bien-être optimal. 
Chaque escarpin étant unique (numéro de série pour chaque modèle), la qualité a donc un coût :  900 euros, qu’il est possible d’honorer en plusieurs échéances.  Dans un futur proche, la gamme Lunexence, distribuée exclusivement sur le site de la marque, va s’agrandir ; de quoi nous permettre de bien trouver chaussures à nos pieds. A suivre donc. Plus d’infos sur www.talexence.com

 

(c) visuel : DR/Talexence

Elixir, la boisson qui met les gaz aux sodas

07/10/2023

Elixir, la boisson qui met les gaz aux sodas

Alors que faire ? Les supprimer du marché ou repenser leur composition ? Certains y ont pensé. Certains s’y sont essayés. C’est le cas de la toute jeune marque Elixir. Son fondateur Grégori Keller, un entrepreneur très engagé, a impulsé sa motivation de lancer un nouveau genre de sodas, par sa volonté de « créer une transition positive du marché agro-alimentaire ». Son leitmotiv ? Rendre plus saines les habitudes de consommation. Un challenge de taille qui aura nécessité de longues années de recherche pour proposer un produit healthy (en bonne santé) abouti, avec pour objectif de révolutionner le marché du soda. Mais comment cela ? En proposant des boissons équilibrées anti-cariogène (protège les dents) à indice glycémique faible, aidant, qui plus est, à la digestion. Et tout cela grâce aux vrais fruits fraîchement pressés, à leurs vitamines préservées et surtout, grâce au sucre naturel de bouleau, faible en calories. Car avec Elixir, exit tout arôme artificiel. Résultat ? Une gamme de trois produits aux emballages recyclables et aux saveurs délicates (Framboise & Canneberge, Pêche blanche & orange, Litchi & rose).  Les goûter, c’est les adopter sans la moindre culpabilité. Il serait donc dommage de se priver de ce plaisir gustatif pétillant qui se consomme bien frais ! 
Prix unitaire : 2.90e – Pack de 12 canettes : 35e - Disponibles sur www.elixirdelight.com

Soleil et cancer du sein : drapeau rouge sur les plages

13/08/2023

Soleil et cancer du sein : drapeau rouge sur les plages

Bien qu’il participe au maintien d’une bonne santé osseuse et qu’il recharge notre organisme en vitamine D, ses UV sont dangereux tant pour notre peau que pour nos yeux. Et ce ne sont là que les méfaits émergés. Aux vues des températures qui s’annoncent à nouveau chaudes cet été, il est plus qu’important de faire une mise en garde.

C’est ce que font les chirurgiens de l’Institut de Sein de Paris en s’adressant tout particulièrement aux patientes qui, à la suite d’une mastectomie (ablation complète du sein malade) pour cancer ont fait une reconstruction par prothèse. Ils sortent le drapeau rouge en leur rappelant les dangers qu’elles encourent à s’exposer au soleil. Pour elles, ce ne sont pas les UV qui sont des ennemis, mais la chaleur qui peut générer des brûlures cutanées au troisième degré et avoir, par voie de fait, des incidences irréversibles sur leur reconstruction. En quoi cela ? Parce que la prothèse, qui est un corps étranger à même l’épiderme, capte la chaleur, augmente la température de la peau et potentialise les rayons du soleil. « Il y a un espace très fin, variant de 7 à 8 millimètres entre la prothèse et la peau. Celle-ci est alors prise en sandwich par la chaleur concentrée au niveau de la poitrine et la prothèse qui chauffe », explique Isabelle Sarfati, chirurgienne plasticienne spécialisée dans la chirurgie des seins.

Une fois reconstruit, le sein est insensible du fait que la peau ait été décollée du muscle. Il ne ressent donc pas sur le moment l’effet de la brûlure. Ce n’est que le soir, devant le miroir que l’on constate les dégâts et bien souvent, il est trop tard pour agir. D’où l’importance pour ces femmes d’éviter les rayons du Dieu Râ et surtout de ne pas s’exposer durablement avec un haut de maillot de bain sombre.

 

Chaque année, plusieurs patientes sont concernées par ses brûlures. Une étude dans la revue scientifique Aesthetic Surgery Journal en 2021 rapportait 28 cas impliquant des rougeurs et des lésions cutanées sur prothèses. En France, une quinzaine de cas sont recensés chaque année. Ce sont 15 de trop ! Et à chaque fois, c’est par manque d’information. « C’est un risque que l’on ne connaissait pas il y a quelques années encore, les spécialistes ne prévenaient pas les patientes qui nous le reprochent à juste titre. Aujourd’hui, nous le savons et il est important d’en parler ! », précise le Dr Isabelle Sarfati.
Aussi, maintenant, on ne pourra plus dire « on ne le savait pas. »

 

Alors, oui en vacances, « on oublie tout, plus rien à faire du tout (…) folie légère », mais plus que tout, on joue la carte de la vigilance. Gare on soleil. On s’en protège !

 

© Visuels : DR/ Service de presse

Une expo hors-champs

13/08/2023

Une expo hors-champs

Il est photographe professionnel de plateaux. Depuis des années, la passion première de Christophe  Brachet est d'observer. Ancien professeur de surf et de plongée, il a commencé en amateur avec les poissons exotiques en Martinique où il vivait pour mieux se recentrer sur les acteurs, les réalisateurs et les techniciens du 7ème art depuis son retour en France.  Eh oui. Il voulait faire du cinéma son métier. Mais c'est surtout derrière la caméra qu'il va s'imposer, avec pour talent, sa maîtrise du cadrage. Il se fait une place sur les plateaux et surtout dans leurs coulisses. Dans son objectif ? L'immortalisation d'instants furtifs et uniques mettant en valeur et sublimant la complicité ou l'intimité d'acteurs français; des portraits en noir et blanc, d'une force esthétique et d'une sensibilité épurée. Aujourd'hui, l'ambassadeur de Sony, élu par ses pairs, président de l'association des photographes de plateaux (PFA), nous les livre dans une exposition dans laquelle il nous partage quelques-uns de ses magnifiques clichés, faisant de nous des spectateurs privilégiés de scènes magnifiées par son art.

 

"Les coulisses du cinéma", une exposition de et par Christophe Brachet parrainée par Dominique Besnehard - Jusqu'au 31 juillet 2023 au Buddha-Bar (Paris VIIIème), du lundi au samedi de 18h à 2h00 du matin et le dimanche de 12h à 16h00 et de 18h00 à 2h00 du matin.